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Le Venezuela contre le rapport déposé au Conseil des droits de l’homme

Caracas, 26 septembre (Prensa Latina) Le Venezuela a exprimé lundi son refus le plus ferme des accusations de la prétendue Mission internationale d’établissement des faits auprès du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, qu’il a qualifiées de fausses et sans fondement.

Un communiqué du ministère des Affaires étrangères a indiqué que « le pamphlet » avait été présenté ce lundi devant ce mécanisme qui a émergé en 2019 d’une résolution remise en question et encouragée par un petit groupe de gouvernements avec de graves situations internes de non-respect aux droits de l’homme.

Le texte affirme cela en le qualifiant  d’exemple clair de la pratique du « deux poids deux mesures, de la sélectivité et de l’utilisation politisée des droits de l’homme » comme outil pour miner la souveraineté des États qui ne se soumettent pas aux conceptions de contrôle hégémonique souhaitées par certaines puissances.

La note évoque le manque du moindre support méthodologique du « nouveau pseudo-rapport » ou d’un lien direct avec la réalité du pays et, donc, « l’objectif est de continuer à porter atteinte aux institutions vénézuéliennes ».

Tout cela fait partie de la stratégie criminelle de « changement de régime » animée par les États-Unis, comptant sur la complicité de leurs gouvernements satellites dans le monde entier.

Le Venezuela s’est dit être un État démocratique et social, fondé sur l’État de droit et la justice, qui assume la mise en avant, le respect et la protection des droits de l’homme en tant que valeur suprême de son système juridique et de ses institutions, en pleine conformité avec ses engagements internationaux dans ce domaine.

Le communiqué reprend « son mépris absolu pour ce type de mécanismes parallèles, barbares et d’ingérence » qui, par ses prises de position, encourage et porte soutien aux  secteurs les plus extrémistes à récidiver dans la transgression généralisée des droits de l’homme des Vénézuéliens et la déstabilisation du pays.

Pour sa part, les promoteurs de cette initiative ont été avertis de la prise des «mesures politiques et diplomatiques appropriées » sur le plan bilatéral et multilatéral face à toute tentative de continuer à prolonger le mandat de cet outil d’agression contre les institutions vénézuéliennes légitimes.

C’est ce qu’on appelle une violation flagrante de la Charte des Nations unies, des résolutions en vigueur de l’Assemblée générale et de l’ensemble des mesures de développement institutionnel du Conseil des droits de l’homme, entre autres.

La République bolivarienne entend continuer à coopérer avec le Conseil des droits de l’homme, toujours sur la base d’une stricte adhésion aux principes d’objectivité, de non-sélectivité, d’impartialité, de non-ingérence dans les affaires intérieures, de respect du multilatéralisme et de dialogue constructif.

jcc/ssa/mem/jcd

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