La Havane, 1er décembre (Prensa Latina) Le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, a défini aujourd’hui l’inégalité comme l’une des causes du recul connu dans le monde dans la lutte contre le sida (syndrome d’immunodéficience acquise).
À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, le mandataire a souligné sur Twitter la reconnaissance par l’Organisation des Nations Unies (ONU) de cette régression due à la pandémie de Covid-19 et à d’autres crises, et a averti que des millions de vies sont en danger.
Il a souligné l’engagement de Cuba dans la lutte contre la maladie, qui a fait 650 000 morts l’année dernière, tandis qu’un million et demi de personnes ont acquis le virus responsable de la maladie.
Les Nations Unies commémorent aujourd’hui la Journée mondiale de lutte contre le sida en appelant à mettre un terme aux inégalités dans la lutte contre la propagation du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), responsable du sida.
Cette organisation internationale estime qu’après quatre décennies de riposte au VIH, les disparités persistent dans les services les plus élémentaires, tels que l’accès au dépistage, au traitement et aux préservatifs, et sont encore plus grandes pour les nouvelles technologies.
Selon la Directrice exécutive du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida, Winnie Byanyima, il est possible de gagner la bataille contre ce fléau en éliminant les différences qui le perpétuent.
Nous avons besoin que tout le monde s’associe au message selon lequel tout le monde bénéficiera de la fin des inégalités, a déclaré Byanyima.
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