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Les ministres des Affaires étrangères des pays du Mouvement des non-alignés appellent à la fin de l’occupation du Golan syrien

Damas, 10 juillet (Prensa Latina) Les ministres des Affaires étrangères des pays du Mouvement des non-alignés (MNA) ont demandé la semaine dernière, à l'issue de leur réunion à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, de mettre fin à l'occupation du Golan syrien par Israël, ont rapporté les médias sur place.

Dans leur déclaration finale, les ministres ont réitéré la position du Mouvement des pays non alignés exigeant que Tel-Aviv retire ses forces aux positions antérieures au 4 juin 1967, conformément aux résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité.
Ils ont estimé que toutes les mesures prises par les autorités d’occupation israéliennes pour modifier le statut juridique, administratif et démographique du Golan sont nulles et non avenues et sans effet juridique, comme le stipule la résolution internationale 497.
Les ministres ont également exprimé le soutien de leurs pays à la cause palestinienne et au droit du peuple palestinien à établir un État indépendant avec Jérusalem pour capitale, et ont condamné l’escalade de l’occupation israélienne et ses attaques meurtrières contre les Palestiniens, tout récemment contre la ville de Jénine et son camp de réfugiés.
Le communiqué dénonce également avec la plus grande fermeté l’imposition de mesures coercitives unilatérales illégales contre les États membres du Mouvement et appelle à leur levée totale, immédiate et inconditionnelle.
Les ministres des Affaires étrangères ont souligné l’importance du respect de la souveraineté, de l’unité, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de tous les États, et se sont prononcés contre les actes d’agression, l’occupation, l’ingérence extérieure dans les affaires intérieures des États et les ambitions d’hégémonie, de néocolonialisme et de discrimination raciale.
Des efforts concertés sont nécessaires pour relever les défis existants et émergents, y compris la lutte contre le terrorisme, les ambitions expansionnistes, les conflits séparatistes, les crimes transnationaux, le rejet de la xénophobie, le mépris des religions, l’ « islamophobie » et l’incitation à la haine et à la violence, ont-ils conclu.
peo/ssa/jha/fm

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