Le rapport sur l’impact des mesures coercitives unilatérales sur le peuple syrien contenait des mensonges dont le but principal est de justifier les politiques injustes et hostiles de certains gouvernements du bloc européen, a déclaré le législatif syrien.
Il a estimé que la poursuite du blocus économique était un crime et un châtiment collectif interdits sur le plan international et a exigé que ses auteurs répondent de leurs actes.
Si le Parlement européen veut être objectif dans sa perspective humanitaire, il devrait condamner le pillage des ressources énergétiques et agricoles syriennes par les forces des États-Unis, qui sont illégalement présentes sur le sol syrien, a conclu le Parlement dans sa déclaration.
L’Union européenne et les États-Unis imposent des sanctions extraterritoriales contre la Syrie depuis 2011, durcies en 2019 au milieu de la pandémie de Covid-19, dans le cadre d’une guerre économique visant à asphyxier le peuple syrien et à le pousser à se soulever contre son gouvernement légitime.
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