L’organe de 21 États parties à la Convention du patrimoine mondial a estimé que le gouvernement italien n’avait pas pris les mesures suffisantes pour protéger la ville mondialement connue, déclarée en 1987 Patrimoine de l’humanité.
Selon le Comité, le tourisme de masse, le changement climatique et les réformes menacent la ville, endommageant sa structure, ce qui justifierait cette position.
Venise fait face à un risque avéré et à des menaces ayant des effets néfastes sur ses caractéristiques intrinsèques, reflète un communiqué diffusé par l’organisme multilatéral.
Il y a deux ans, les experts du Comité avaient fait la même recommandation, mais l’Italie a évitée cette classification par des actions telles que l’interdiction d’entrée d’importants bateaux de croisières dans les principaux canaux.
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