C’est ce qu’a déclaré par le biais de son compte X (anciennement Twitter) Rodriguez, également ministre de l’Économie et des Finances, à propos du communiqué publié mardi par le ministère des Affaires étrangères.
Ce document a vigoureusement réfuté la procédure illégale d’appel d’offres pour les blocs pétroliers menée par le gouvernement guyanien (Blocks far tender far 2022- Guyana Licensing Round) et a dénoncé le fait que le gouvernement guyanien « prétend disposer de zones maritimes à délimiter » entre les deux pays.
La note indique que le gouvernement du Guyana « ne possède pas de droits souverains sur ces zones maritimes » et que par conséquent toute action dans leurs limites est contraire au droit international, tant qu’elle n’est pas menée dans le cadre d’un accord avec Caracas.
Le Venezuela a réaffirmé qu’il était « inacceptable et contraire à ses droits souverains que le Guyana accorde ou envisage d’accorder des concessions illégales et arbitraires » dans les domaines en question.
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