Selon les résultats du vote, 86 députés étaient favorables à la destitution de la chef de l’État et un s’est prononcé contre, mais pour destituer Zurabishvili il fallait au moins 100 voix sur 150, soit les deux tiers du Parlement, souligne ce mercredi la chaîne de télévision Imedi 1.
Fin août et début septembre, Zurabishvili s’est rendu à Berlin, Bruxelles et Paris, où elle a tenu des réunions de haut niveau.
Mais il a été informé que le gouvernement géorgien n’avait pas donné son consentement à ces visites, de sorte que le parti Rêve géorgien-La Géorgie démocratique a accusé la présidente de violer la constitution du pays et a engagé cette procédure de destitution qui n’a finalement pas abouti.
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