vendredi 26 juillet 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Le pape François demande un cessez-le-feu dans le conflit israélo-palestinien

Cité du Vatican, 5 novembre (Prensa Latina) Le pape François a réitéré aujourd’hui son appel à un cessez-le-feu dans le conflit israélo-palestinien, pour freiner l’escalade de la guerre et permettre à l’aide internationale d’atteindre la bande de Gaza.

Après avoir conclu sa prière dominicale de l’Angélus, le Souverain Pontife a manifesté de la fenêtre du Palais apostolique du Vatican, devant les fidèles et les pèlerins présents sur la Place Saint-Pierre, que « je continue à penser à la grave situation en Palestine et en Israël, où tant de personnes ont perdu la vie ».
« Au nom de Dieu, arrêtez le feu ! J’espère que toutes les voies seront suivies pour éviter complètement une escalade du conflit, pour venir en aide aux blessés et pour venir en aide à la population de Gaza, où la situation humanitaire est très grave», a déclaré le Pape, selon un communiqué du Saint-Siège.
La note, publiée sur son site officiel par le bureau de presse du Vatican, indique que François a parlé des souffrances des enfants victimes des affrontements qui ont lieu également dans d’autres parties du monde.
Concernant la situation grave au Moyen-Orient, face à l’augmentation des bombardements israéliens contre la population palestinienne dans la bande de Gaza, le pape François a mis en garde mercredi dernier contre une possible escalade, tout en manifestant sa confiance dans la sagesse humaine pour l’empêcher de se produire.
Dans une interview accordée à l’espace télévisé italien TG1, le pape a souligné que cette escalade, au niveau mondial, « serait la fin de beaucoup de choses et de nombreuses vies » et a ajouté que « toute guerre est une défaite, rien n’est résolu par la guerre, tout se gagne par la paix, par le dialogue ».
Au sujet des voies de règlement du conflit israélo-palestinien, il a estimé qu’ils sont « deux peuples qui doivent coexister », et a réaffirmé la validité des accords d’Oslo de 1993 pour une solution permanente, avec la formule « deux États bien limités et Jérusalem avec un statut spécial ».
peo/oda/Ort

EN CONTINU
notes connexes