Des gangs criminels armés contrôlent 80% de Port-au-Prince, la capitale d’Haïti, pays qui, paradoxalement, a été le théâtre de la première révolution réussie des esclaves contre un pouvoir colonial européen en plein essor, celui de la France de Napoléon Bonaparte.
La vice-présidente du Parlement kényan, Gladys Boos Shollei, a annoncé le succès de la motion autorisant le déploiement de policiers à la suite d’un vote cependant insuffisant pour entamer le déplacement et le déploiement de ces forces de l’ordre.
La Cour suprême de cette capitale a suspendu la mission dans l’attente de l’examen d’un recours déposé par des partis d’opposition qualifiant l’initiative d’inconstitutionnelle et critiquant l’envoi de policiers dans un pays « instable et dangereux ».
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