Le chef d’État a indiqué sur le réseau social X que les pays et les acteurs concernés connaissent les actions de la nation caribéenne pour contribuer au règlement des conflits dans la région.
Ils sont également conscients, a souligné le mandataire, de l’action de l’île dans cette querelle territoriale, selon les demandes de chaque partie.
Le dialogue entre Maduro et Ali a été encouragé par la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes et la Communauté des États des Caraïbes face à la nécessité urgente de réduire l’escalade du conflit et d' »instituer un dialogue approprié ».
Depuis plus d’un siècle, les deux États voisins se disputent pour cet espace de près de 160 000 kilomètres carrés et, au cours des dernières semaines, le Guyana a lancé des appels d’offres à des sociétés pétrolières transnationales dans des eaux non délimitées, ce qu’a énergiquement condamné le Venezuela.
À la suite de la réunion des présidents à Saint-Vincent-et-les Grenadines, les deux parties se sont déclarées prêtes à poursuivre le dialogue.
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