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Exigence de sécurité pour la reprise des cours en Équateur

Quito, 12 janvier (Prensa Latina) L’Union Nationale des Éducateurs en Équateur (UNE) a exigé aujourd’hui du gouvernement que le retour présentiel dans les salles de classe se fasse là où existent les garanties nécessaires à la sécurité de la communauté éducative.

Lors d’une conférence de presse ce vendredi, les membres du Comité exécutif de l’UNE ont suggéré à l’exécutif que pour que l’apprentissage ne s’arrête pas, il est nécessaire de réduire les tarifs de l’Internet et de l’électricité à 50 pour cent de leur coût dans les foyers qui ont des étudiants.
Ainsi que conclure des accords avec les grandes entreprises technologiques pour acquérir des appareils (téléphones portables, tablettes, ordinateurs) à des prix abordables, ont-ils réclamé.
L’UNE a également demandé des plans de gestion des risques pour que les établissements d’enseignement sachent comment réagir face aux menaces de voitures piégées, aux fusillades, à la présence de bandes criminelles.
Ce jeudi, le ministre équatorien de l’Éducation, Daniel Calderón, a révélé que le retour en classe dépendrait de la situation sécuritaire dans le pays.
Dans des déclarations à la chaîne Ecuador TV, il a révélé qu’ils analyseraient le retour à des classes présentielles dans les unités éducatives proches des prisons.
Selon Calderón, il existe mille six cents établissements d’enseignement qui sont à deux kilomètres des centres de privation de liberté.
Suite à la déclaration de l’existence d’un conflit armé interne en Équateur, le Ministère de l’Éducation a ordonné l’adoption de la modalité de classes virtuelles sur tout le territoire national jusqu’à nouvelle ordre.
peo/lam/nta

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