Ainsi, le pays scandinave serait le 32e à intégrer le bloc, la Finlande l’ayant rejoint en avril 2023.
La décision est intervenue après la récente visite dans cette capitale du Premier ministre suédois Ulf Kristersson, qui, selon les parties, aidera à construire « une relation juste et respectueuse entre les deux pays au-delà des divergences de vues ».
Budapest aurait retardé sa décision afin de faire pression pour négocier avec l’Union européenne (UE) le déblocage de milliards d’euros de fonds gelés, selon des experts.
Des instances de l’UE critique vivement l’exécutif hongrois pour des questions relatives aux droits de l’homme et à la liberté d’expression dans le pays.
Le gouvernement de Budapest est également un écueil pour l’organisme communautaire lorsque ce dernier souhaite adopter de nouvelles sanctions contre la Russie, lesquelles ne sont pas soutenues par l’administration d’Orban.
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