Sur son compte du réseau social X, le haut diplomate a déclaré qu’ils ont « à nouveau l’échec peint sur le front ».
Gil a fait allusion aux déclarations sur ce réseau social du sous-secrétaire aux Affaires de l’hémisphère occidental du Département d’État des États-Unis, Brian Nichols, après une rencontre en Espagne avec la secrétaire d’État pour l’Amérique latine et les Caraïbes, Susana Sumelzo.
Gill a déclaré que Nichols « devrait apprendre un peu d’histoire » et « là-bas, ils savent bien que le Venezuela a cessé d’être une colonie il y a plus de 200 ans, sous le commandement du libérateur Simón Bolívar, l’empire le plus puissant de l’époque a été vaincu ».
« Il est temps pour les États-Unis d’abandonner leurs prétentions interventionnistes et esclavagistes », a-t-il insisté.
Dans un post sur le réseau social X, le haut fonctionnaire états-unien avait déclaré avoir beaucoup apprécié rencontrer son homologue Sumelzo.
Notant qu’ils avaient discuté, entre autres sujets, de « la nécessité urgente » d’accroître l’aide au peuple haïtien et de « notre soutien au respect de l’accord de la Barbade sur les élections au Venezuela ».
Ces derniers jours, les autorités vénézuéliennes ont dénoncé les intentions des États-Unis de promouvoir la violence en République bolivarienne, en collusion avec l’extrême droite nationale et des hommes politiques colombiens, dans le but d’empêcher les élections présidentielles du 28 juillet.
À ces élections, les 31èmes dans le pays en 25 ans de Révolution bolivarienne, 13 candidats ont été inscrits, dont 12 de l’opposition et un du gouvernement en la personne de Nicolás Maduro, et ont été avalisés devant le Conseil national électoral par 37 organisations, mouvements et partis politiques.
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