Rodriguez a rapporté sur son compte du réseau social X qu’au cours des derniers jours, des politiciens états-uniens et du Département d’État s’acharnent à calomnier l’île dans une quête désespérée de soutien électoral de la mafia anticubaine.
Les autorités de ce pays des Caraïbes ont révélé lundi dernier les détails d’une opération d’infiltration, financée depuis les États-Unis, visant à mener des attaques contre des objectifs économiques, sociaux et militaires de l’île à des fins déstabilisatrices.
Certains des acteurs impliqués dans l’organisation, la planification et le financement de cette action figurent sur la liste nationale des personnes impliquées dans des actes de terrorisme contre Cuba, parmi lesquels Willy González, chef de l’organisation paramilitaire Nueva Nación Cubana en Armas (Nouvelle nation cubaine en armes), basée en Floride.
Selon le colonel Víctor Álvarez, deuxième chef du corps spécialisé de la Direction générale des enquêtes criminelles du ministère de l’Intérieur cubain, des événements comme celui-ci ont été signalés à plusieurs reprises aux autorités états-uniennes sans que des mesures soient prises par Washington.
Selon des analystes, le double standard du gouvernement des États-Unis face à une question aussi sensible que le terrorisme révèle la véritable essence de la politique avec laquelle les administrations successives de ce pays ont tenté, pendant plus de six décennies, de renverser la révolution cubaine.
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