Selon le journal, les Forces armées (FDI) ont utilisé ces personnes pour des tâches dangereuses pendant les combats dans l’enclave côtière.
Le journal, qui a cité des sources de sécurité, a souligné que les migrants ont accepté de participer à la guerre en échange « d’aide pour résoudre leur situation et que l’asile leur soit accordé ».
Le recrutement est effectué de manière systématique et avec l’approbation du conseiller à la sécurité judiciaire, a expliqué un fonctionnaire à la publication.
Il a indiqué que le recrutement se faisait en dépit du fait qu’aucune décision n’avait encore été prise quant à la question de leur accorder une résidence et, à cet égard, il a précisé qu’aucun d’entre eux n’avait obtenu l’asile jusqu’à présent.
Les FDI ont perdu plus de 300 hommes dans la bande de Gaza, auxquels s’ajoute un nombre similaire de soldats tués lors de l’attaque du Mouvement de résistance islamique (Hamas) contre Israël le 7 octobre dernier.
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