Selon le ministre, l’intronisation du conflit qui a commencé il y a un an laisse plus de 41 000 personnes tuées, dont des femmes, des personnes âgées, des jeunes, des adolescents et des enfants.
« La Colombie s’élève pour un cessez-le-feu immédiat, la libération de tous les otages et des personnes enlevées, l’entrée d’aide humanitaire à Gaza et que l’on puisse trouver une solution politique entre les deux États », a demandé Murillo.
À cet effet, il a rappelé que son pays s’était associé à l’action introduite par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice, qui a ordonné d’arrêter toute action militaire pouvant mené à un génocide.
Nous nous sommes également ralliés à la résolution qui a été adoptée pour donner le statut de membre à part entière à la Palestine auprès des Nations Unies, a-t-il déclaré.
« La Colombie exige que tout soit fait pour assurer le respect des normes relatives aux droits de l’homme et du droit international humanitaire. Cela devrait conduire à l’extinction des bombes et permettre à l’humanité de vivre en paix », a déclaré le ministre.
En plus de rompre ses relations diplomatiques avec Israël, la Colombie a mis fin aux exportations de charbon vers ce pays en réponse à ses actes de violence contre la population civile palestinienne.
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