Au sein de l’entité créée en 2018 pour conjuguer la production et les recherches scientifiques, Vaillant et la conseillère économique et commerciale de l’ambassade, Danae de Paz, ont été reçus par son directeur, Jérémie Annicette-Mondélis, et ont également dialogué avec des éleveurs.
Selon des sources diplomatiques de l’île, les réunions tenues dans le complexe de Pradel ont abordé des thèmes tels que la production, les meilleures pratiques pour l’élevage de chèvres et les recherches liées à l’alimentation animale.
Il est prévu que la ferme expérimentale française et les associations cubaines participant au programme de développement du petit bétail sur l’île établissent des liens de collaboration qui déboucheront sur des travaux conjoints à partir de la volonté exprimée par les parties.
Vaillant a expliqué la priorité que représente la sécurité alimentaire pour la nation antillaise et les obstacles qu’impose à cet objectif le blocus économique, commercial et financier des États-Unis et sa recrudescence ces dernières années.
Avant la visite au domaine de Pradel, l’ambassadeur cubain et de Paz ont participé à diverses activités en Ardèche, un département de la région Auvergne-Rhône-Alpes, invités par le conseiller régional Eric Hours, membre du Parti communiste français, et Bernard Blanc, président de l’association de solidarité France-Cuba.
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