Sur le réseau social X, le ministre a désigné des politiciens anticubains, dont le secrétaire d’État Marco Rubio, comme les principaux promoteurs de ces mesures, les accusant de trahir les communautés qui les ont élus.
Depuis ce lundi est entré en vigueur le nouveau veto migratoire du président Donald Trump qui interdit et restreint l’entrée aux États-Unis de citoyens de 19 pays en invoquant des raisons présumées de sécurité nationale.
Le 4 juin dernier, Trump a signé une proclamation qui limite totalement l’entrée des ressortissants de 12 pays « avec des lacunes dans l’évaluation et la vérification des antécédents, et qui représentent un risque très élevé pour les États-Unis », a-t-il déclaré.
Ce groupe comprend l’Afghanistan, le Myanmar, le Tchad, la République du Congo, la Guinée équatoriale, l’Érythrée, Haïti, l’Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen.
Dans le même temps, Trump « restreint et limite partiellement » l’entrée de ressortissants de sept autres pays qui, selon la directive, « représentent également un haut niveau de risque pour les États-Unis » et qui dans ce cas comprend Cuba, le Venezuela, le Burundi, le Laos, la Sierra Leone, le Togo et le Turkménistan.
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