Selon Radio Okapi, quatre opérations ont été nécessaires pour y parvenir, tandis que le HCR a souligné le caractère volontaire du rapatriement.
Depuis le 17 mai dernier ont commencé ces transferts qui étaient principalement axées sur les femmes, les enfants, les personnes âgées et les personnes handicapées.
La plupart des réfugiés venaient de Karhenga, dans le territoire congolais de Masisi, dans la province du Nord-Kivu, où ils ont fui après le génocide rwandais de 1994.
Le processus a nécessité une évaluation du HCR en RDC, afin d’identifier correctement les personnes et de garantir le respect des droits et du droit international ainsi que du principe de non-refoulement.
Depuis la prise de Goma, capitale du Nord-Kivu, fin janvier par les rebelles de l’Alliance du Fleuve Congo et du Mouvement 23 mars (AFC/M23), ces familles vivaient dans des conditions précaires.
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