Sur le réseau social X, le président de l’Assemblée consultative islamique (Parlement), Mohammad Baqer Qalibaf, a souligné : « Aujourd’hui, suite à l’approbation du Conseil constitutionnel, la loi qui suspend la coopération avec l’AIEA a été officiellement communiquée ».
Selon lui, « il est impossible de poursuivre la collaboration avec une agence qui facilite la guerre et l’agression, et sert d’exécutrice des intérêts inhumains du régime sioniste, et ce jusqu’à ce que nous soyons assurés de la pleine sécurité de nos installations nucléaires ».
Selon la loi, la coopération restera suspendue jusqu’à ce que les centres nucléaires et les scientifiques de l’Iran soient pleinement protégés, conformément à la Charte des Nations Unies et en accord avec le Conseil suprême de sécurité nationale.
Dans le même temps, il a souligné que la cessation de coopération se poursuivra jusqu’à ce que soit reconnu et respecté le droit de l’Iran à l’enrichissement nucléaire à des fins pacifiques, qui est garanti par l’article 4 du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
La loi oblige le gouvernement à présenter un rapport trimestriel au Parlement et au Conseil suprême.
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