Le président a fait allusion au Premier ministre Benyamin Netanyahou : «Le responsable de cet État de terreur a provoqué les cris du peuple israélien et le fait qu’il se rebelle contre lui-même. C’est pourquoi sa fin est proche».
Parallèlement, Erdogan a critiqué les gouvernements occidentaux, y compris l’Allemagne, qu’il a associés à une structure impérialiste croisée, question perçue, selon lui, lors de sa visite dans ce pays européen.
Sa visite a confirmé l’énorme division des positions des deux pays sur le conflit dans la bande de Gaza.
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