Sur l’emblématique perron de l’Université de La Havane, théâtre de luttes émancipatrices et forge des idées révolutionnaires de Fidel Castro, a eu lieu une soirée politico-culturelle qui a mis en évidence à travers l’art l’empreinte du leader cubain.
La première secrétaire de l’Union des jeunes communistes, Aylín Álvarez, a déclaré que Fidel Castro restait pour Cuba « le guérillero, l’homme d’État, le paradigme de tout un peuple qui défend sa Révolution, le commandant en chef ».
La jeunesse cubaine sent sa proximité, cherche son héritage, vient à lui chaque fois qu’il est nécessaire de savoir comment agir avec dignité, a-t-elle manifesté en affirmant qu’il ne s’agissait pas d’un hommage pour un héros absent, ni d’un hommage posthume chargé de douleur et de tristesse, car sa présence est unanime et permanente.
« En des temps aussi complexes que ceux que nous vivons, il est impératif de revenir à Fidel, à ses paroles quand il a dit : « Nous n’avons pas d’autre choix que de rêver, de continuer à rêver, et de rêver aussi de l’espoir qu’un monde meilleur doit devenir réalité, et ce sera le cas si nous nous battons pour lui » », a déclaré la dirigeante cubaine.
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