Selon l’organisme, ces sportifs participeront aux épreuves sans drapeaux, affichage d’emblèmes ou d’hymnes en cas de gain d’un titre.
La protection des droits des athlètes individuels de participer à des compétitions malgré la suspension de leur pays est une pratique bien établie, qui respecte les droits de l’homme, souligne le communiqué.
Les sportifs de ces deux pays ont été empêchés de concourir au niveau international après le début du conflit en Ukraine l’année dernière, mais ils ont depuis été progressivement autorisés à participer sous bannière neutre dans la plupart des disciplines.
La grande inconnue restait celle de leur participation au rendez-vous parisien, et ce vendredi le CIO a levé les doutes.
Parmi les quatre mille 600 athlètes du monde entier qui se sont qualifiés pour Paris 2024 jusqu’à présent, il n’y a que 11 athlètes individuels neutres (huit avec passeport russe plus trois avec passeport biélorusse).
La participation à des événements par équipes leur est toujours interdite, mais individuellement, on s’attend à ce que des dizaines d’athlètes de ces deux pays puissent se qualifier pour l’évenement français.
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