Nous exigeons le respect du Honduras et de son gouvernement, a souligné le ministre sur son compte du réseau social X.
Le département d’État nord-américain a annoncé le 12 décembre dernier la restriction des visas pour un groupe de politiciens et de parlementaires honduriens.
Les États-Unis ont justifié leur décision en faisant valoir que les mesures imposées à certaines personnes sont dues à leurs tentatives de «saper la démocratie et de permettre la nomination irrégulière et sans précédent d’un procureur général et d’un procureur général adjoint par intérim» dans le pays d’Amérique centrale.
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