Díaz-Canel a rappelé aux délégués que seules la culture et l’éducation ont la capacité d’être l’unique antidote contre la manipulation des publics, et que dans le contexte actuel de guerre économique et culturelle il est crucial de promouvoir la pensée critique.
La culture, a déclaré le chef de l’État, est la substance fondamentale de l’unité, qui est, à son tour, l’élément stratégique de survie d’une petite nation assiégée par un empire toujours avide de pouvoir, et qui n’a jamais renoncé à nous posséder, par force ou par séduction.
Il a insisté sur le fait que la guerre culturelle provoquée par l’impérialisme et la droite politique comporte une forte composante symbolique et psychologique d’intoxication médiatique qui pointe directement contre l’unité populaire.
Le président cubain a également noté que l’art et la culture renforcent le sentiment de patrie.
Díaz-Canel a également souligné le rôle stimulant et curatif de l’art, mis en évidence ces jours-ci face aux destructions causées par le passage de l’ouragan Oscar dans l’est de Cuba, où actuellement le travail des artistes devient vital pour les habitants victimes du phénomène météorologique.
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