Si je revenais [en Pologne], je devrais être arrêté sur la base d’accusations calomnieuses et traîné devant le Sejm menotté, a déclaré celui qui est également député du parti d’opposition Loi et Justice.
Ziobro a révélé que plusieurs procureurs connus l’ont averti de ce scénario, ce qui l’a conduit à annuler son retour.
L’ancien ministre a précisé qu’il n’avait pas demandé d’asile politique en Hongrie pour le moment et a expliqué que son voyage à Budapest était initialement lié à sa participation à une conférence sur la faillite de l’état de droit en Pologne.
La commission du règlement du Sejm (parlement polonais) a ouvert la voie à ce scénario en approuvant la demande de l’accusation visant à le priver de son immunité parlementaire.
La décision finale sera soumise au vote de l’assemblée plénière du parlement polonais ce vendredi.
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