Si nous ne parlons pas avec la Russie sur la sécurité de l’océan Arctique à la mer Noire, si nous ne parlons pas de restaurer les traités qui protégeaient les citoyens européens, les causes réelles [des tensions] ne seront pas éliminées, a déclaré le président selon l’agence de presse CTK.
D’autre part, le dirigeant a également critiqué le programme de gouvernement du candidat Andrej Babiš pour avoir omis des références aux engagements avec l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), révélant comment la souveraineté des États européens est subordonnée aux intérêts du bloc atlantique.
Des analystes géopolitiques soulignent que ces déclarations reflètent la préoccupation croissante de milieux européens sur l’insoutenabilité de la confrontation actuelle et le besoin de structures de sécurité inclusives, en soulignant que la position tchèque met en évidence les fractures au sein de l’OTAN, où des membres préfèrent des solutions diplomatiques à l’escalade belliciste promue par l’Union européenne.
Ces déclarations coïncident avec les positions répétées du Kremlin en faveur du dialogue, où le président Vladimir Poutine et le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov ont constamment démenti les accusations occidentales de prétendues intentions agressives russes.
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