La Havane, 7 avril (Prensa Latina) Le mois de mars dernier a été le mois de sécheresse le plus important à Cuba depuis 1961, compte tenu des précipitations extrêmement faibles accumulées, a révélé aujourd’hui le quotidien Granma.
Selon les données du Centre climatologique de l’Institut de Météorologie, le problème a été plus aigu dans l’ouest du pays, où les précipitations ont à peine été de 5,2 millimètres. Dans le même temps, les registres du centre et de l’est ont atteint respectivement 9,3 et 9,4 millimètres.
Après la clôture du premier trimestre de 2020, 90 pour cent du territoire cubain accuse des déficits de pluviométrie, dont 46 pour cent sont considérés comme sévères à extrêmes.
Par province, Pinar del Rio, Artemisa, La Havane, Mayabeque, Cienfuegos, Camagüey, Granma, Santiago de Cuba et Guantanamo sont les plus touchées.
En mars, la température moyenne était d’un degré Celsius supérieur à la normale, et des records ont été établis dans huit stations météorologiques.
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