Par Fady Marouf
Damas, 23 avril (Prensa Latina) Chaque jour, de nouvelles preuves du soutien apporté par les États-Unis au terrorisme en Syrie sortent au grand jour.
Récemment, l’Armée de cette nation a confirmé la désertion de 33 hommes armés du groupe Maghwir al-Thawra, entraîné, financé et armé par Washington.
Les déserteurs sont arrivés dans la ville de Palmyre en provenance de la zone de Tanef occupée par Washington à la frontière entre la Syrie, l’Irak et la Jordanie.
Ils ont remis à l´Armée sept véhicules de combat et de grandes quantités d’armes et de munitions, et ont reconnu que les militaires étasuniens conseillaient leurs opérations contre l’armée syrienne et leurs attaques contre les installations pétrolières et gazières dans le désert du pays.
Dans le sud du pays, l’armée syrienne a de nouveau trouvé des armes et des munitions, dont certaines de fabrication nord-américaine, dans des sites abandonnés par des terroristes.
L’arsenal a été saisi lors des opérations de peignage et de déminage dans les localités libérées et comprend des missiles antichars TOW, des drones et du matériel de télécommunications et de transmission par satellite de pointe.
Face à cette ingérence, la population résiste de plus en plus à la présence illégale des États-Unis. Il y a eu deux attaques contre des convois militaires des États-Unis depuis le début du mois, qui ont causé la mort d’un officier et blessé plusieurs marines.
Dans le même temps, l’indignation populaire s’accroît et les habitants ont intensifié leurs actions pour bloquer les routes avant les convois des États-Unis.
Par ailleurs, des sources de l’armée syrienne affirment que tôt ou tard elles libéreront chaque centimètre du territoire du terrorisme et de l’occupation étrangère.
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