« Nous avons toujours su que l’impérialisme étasunien est le principal ennemi du peuple haïtien et qu’il nous sape économiquement et politiquement pour justifier des occupations militaires qui sauvegardent ses intérêts », dénonce dans un éditorial ce média numérique.
Les récentes déclarations de trois fonctionnaires de l’administration du président des États-Unis, Joe Biden, en témoignent.
Le sous-secrétaire d’État aux Affaires de l’hémisphère occidental, Brian Nichols, le chargé d’affaires des États-Unis pour Haïti, Eric Stromayer, et le porte-parole du département d’État, Matthew Miller, défendent le Premier ministre Ariel Henry.
Cette position montre clairement que la Maison Blanche porte la responsabilité ultime du comportement obstiné et provocateur de ses laquais au pouvoir en Haïti, ce qui n’est pas surprenant, estime le média.
Son rôle (en référence à Washington) est évident dans la situation actuelle, bien qu’ils (les États-Unis) cherchent toujours à se présenter d’une manière désintéressée et serviable, précise le journal.
Seule une agitation totale perturbera ce laboratoire impérialiste qui reproduit des dirigeants fantoches sans conscience patriotique, suggère l’éditorial d’Haïti Liberté.
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