Il a assuré que le chef du gouvernement, Ariel Henry, est un obstacle à tout dégel politique.
Il a également déclaré que son parti ne serait plus à la table des négociations, mais dans la rue avec le peuple pour forcer le Premier ministre à quitter son poste.
La veille, des centaines de manifestants ont défilé dans cette capitale et blâmé Henry pour la situation critique que vit le pays.
La marche, convoquée par le parti Engagé pour le Développement (EDE) fondé par Joseph, s’est jointe à d’autres organisations sociales et politiques pour également dénoncer l’inaction des autorités face aux dizaines de milliers de personnes déplacées par la violence des gangs dans de nombreux territoires.
Les manifestants ont également dénoncé la fermeture de la frontière ordonnée par le président dominicain Luis Abinader en représailles à la construction d’un canal d’irrigation sur le sol haïtien.
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