Dans une lettre adressée au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, la présidente, au nom de la Communauté des États d’Amérique latine et des Caraïbes, a préconisé que les personnes et les institutions internationales disposant de nourriture, d’eau, de médicaments et de services de santé pour Gaza puissent circuler sans danger.
En ce sens, Castro a souligné la nécessité de garantir l’intégrité physique des personnes dans cet exercice d’humanisme élémentaire.
Elle a ajouté que jusqu’à présent toutes les initiatives de l’ONU en faveur d’un cessez-le-feu immédiat se sont heurtées au veto des États-Unis, ce qui empêche l’arrêt des bombardements cruels sur l’enclave côtière.
« Les victimes quotidiennes se comptent par milliers, ce sont des Palestiniens assassinés, des femmes, des enfants et des personnes âgées qui sont assiégés dans un processus qui conduit clairement au génocide le plus criminel du 21e siècle », a-t-elle manifesté.
Elle a appelé à condamner le terrorisme sous toutes ses formes, tout en demandant d’ordonner immédiatement un cessez-le-feu, en plus de reconnaître sans réserve l’existence d’un État palestinien avec toutes les prérogatives et obligations de n’importe quel pays du monde.
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