Mahamat a réitéré, dans un communiqué officiel, sa demande d’appui à la commémoration de la Journée antisanctions de la Communauté d’Afrique australe (SADC) le 25 octobre, date déclarée officielle lors du 40e sommet des chefs d’État et de gouvernement de ce groupe régional.
Il a reconnu l’engagement de l’Union Européenne à travers le dialogue politique et, dans ce contexte, a encouragé toutes les parties à poursuivre un échange constructif en vue de la levée des sanctions restantes contre les institutions et les individus zimbabwéens.
Il a exprimé sa préoccupation face à l’impact négatif des sanctions en cours contre la nation africaine sur le développement socio-économique et les efforts de redressement.
Puis il a réaffirmé le plein appui de l’Union africaine aux actions et positions de la SADC sur cette question.
Les mesures illégales imposées par les États-Unis et l’Union européenne depuis plus de deux décennies violent les droits fondamentaux des citoyens zimbabwéens, a-t-il manifesté.
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