Israël et les États-Unis, son principal complice, ne peuvent ignorer la demande de la communauté internationale exprimée dans la résolution de mettre fin à la barbarie en Palestine, a souligné le ministre sur le réseau social X.
Le texte adopté, a ajouté Rodriguez, appelle à une trêve humanitaire immédiate et durable conduisant à la cessation des hostilités, à la mise en place urgente d’un mécanisme de protection de la population civile palestinienne, au respect du droit international, puis rejette le déplacement forcé de civils et préconise l’envoi d’une aide humanitaire d’urgence.
La résolution, présentée par la Jordanie, est la première adoptée par un organisme de l’Organisation des Nations Unies après l’échec de quatre projets au Conseil de sécurité depuis le déclenchement de la violence le 7 octobre dernier.
Elle demande la libération immédiate et inconditionnelle de tous les civils détenus illégalement, exigeant leur sécurité, leur bien-être et un traitement humain, tout en soulignant qu’il importe d’éviter une nouvelle déstabilisation et une nouvelle escalade de la violence dans la région.
«Une solution juste et durable au conflit israélo-palestinien ne peut être obtenue que par des moyens pacifiques, sur la base des normes pertinentes des Nations unies, conformément au droit international, et sur la base du principe de deux États comme solution», souligne le document.
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