samedi 21 décembre 2024 |
Prensa Latina - Qui sommes nous

| Contacter avec Prensa Latina

Agence d'information Latino-américaine
Édition française
Search
Close this search box.

Des ministres européens de la santé discutent des mesures à prendre contre la Covid-19

Bruxelles, 6 décembre (Prensa Latina) Les ministres de la santé de l’Union européenne (UE) examineront cette semaine de nouvelles actions pour mettre un frein à la progression de la pandémie de Covid-19 et des mesures contre la nouveau variant du coronavirus Omicron. 

Le porte-parole de la Commission européenne (CE), Eric Mamer, a dit que les principales autorités sanitaires des pays membres de l’Union européenne discuteraient mardi de l’importance de renforcer les restrictions et la vaccination.

« En revanche, la nécessité d’imposer la vaccination au niveau de l’UE, un point qui avait été envisagé mais finalement exclu de l’ordre du jour, a été écartée », a-t-il expliqué.

La présidente de la CE, Ursula von der Leyen, a réaffirmé lundi qu’une proposition de vaccination obligatoire avait été rejetée, alors qu’elle avait récemment déclaré qu’une telle mesure devait être encouragée et envisagée au sein de l’UE.

Selon Mme. Von der Leyen environ 150 millions de personnes en Europe, soit un tiers de la population, n’ont pas encore été vaccinées. Bien que certains cas de très jeunes enfants ou de citoyens présentant des conditions médicales particulières soient exclus, la grande majorité pourrait être vaccinée.

En juin 2020, la CE a présenté la stratégie de l’UE visant à accélérer le développement, la fabrication et le déploiement des vaccins Covid-19 au titre du meilleur moyen de parvenir à une solution permanente à la pandémie.

Selon des données récentes, les États européens avec  les taux de vaccination les plus élevés sont le Portugal, avec 87,17 % de sa population immunisée, Malte (82,99), l’Islande (81,16), l’Espagne (79,83), le Danemark (75,9) et l’Irlande (75,24).

Le directeur de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge, a récemment averti que si le continent maintenait son rythme quotidien actuel d’environ 250 000 cas et 3 600 décès, « nous pourrions avoir un demi-million de décès supplémentaires d’ici février ».

jcc/gaz/ort

 
EN CONTINU
notes connexes