Le président du parlement, Gustavo Porras, a rappelé qu’en 2017, la législature a approuvé la loi 957 sur la défense du patrimoine national, qui établit les considérations et les résolutions émises par la Cour internationale de justice.
De plus, le Nicaragua n’a jamais renoncé à son droit d’être indemnisé et que, par conséquent, il existe à ce jour une obligation de réparation économique en vigueur en faveur du peuple.
En ce sens, on insiste sur l’engagement de cette branche de l’État à respecter la norme 957, la loi pour la défense du patrimoine national.
Il a ajouté qu’à chaque agression économique perpétuée, le gouvernement nord-américain augmentait sa dette morale envers le peuple nicaraguayen, qui ne pourra jamais être remboursée.
Il a exprimé son soutien à la lettre signée par le président Daniel Ortega le 26 juin et remise au secrétaire général des Nations unies, António Guterres.
Dans cette lettre, le gouvernement nicaraguayen réitère sa demande concernant le non-respect par Washington de l’arrêt historique rendu par la Cour internationale de justice il y a 37 ans.
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